Pas nécessairement. Le physiothérapeute peut vous faire une évaluation approfondie et, le cas échéant, vous conseiller de consulter un médecin. Toutefois, si vous avez des assurances, il serait préférable de vérifier auprès de votre assureur si vous êtes dans l’obligation d’avoir une prescription médicale.

Absolument. Toutefois, il faudra vous assurer d’apporter certains documents dont le détail vous sera dit au téléphone après avoir pris rendez-vous.

Absolument. Toutefois, il faudra vous assurer d’apporter certains documents dont le détail vous sera dit au téléphone après avoir pris rendez-vous.

Lors de la première séance, il faudra premièrement remplir un court formulaire sur l’état de santé du patient. Une assistance sur place est possible au besoin. Ensuite, une évaluation de votre condition sera obligatoirement faite selon les normes de l’Ordre professionnel de la physiothérapie du Québec (OPPQ). Un plan de traitements avec des exercices à faire hors rendez-vous sera proposé et devra être accepté par le patient ou son représentant légal. Si l’évaluation à faire n’est pas pour un cas complexe, le premier rendez-vous pourra aussi inclure un début de traitement. La première séance de rendez-vous pour un client peut être de 60 ou de 90 minutes.

Tout dépend de la gravité du cas. Une personne ayant subi des multiples traumatismes à plusieurs articulations aura besoin d’un plus grand nombre de traitements qu’une personne ayant une légère entorse. Il est impossible de prédire combien de rendez-vous seront nécessaires ; chaque personne pouvant guérir à une vitesse différente, selon divers facteurs et la rigueur d’application des conseils et exercices donnés.

Nous sommes situés à moins de 15 minutes du centre-ville de Joliette, au pied des beaux monts laurentiens, dans un décor enchanteur et sur un grand terrain où se trouvent de nombreuses commodités gratuites.

La glace est souvent utilisée en phase aiguë à la suite d’une blessure (en général dans les 48 heures suivant la blessure). La glace peut aider à diminuer la douleur et l’inflammation. Dans l’éventualité où la douleur est encore vive et que les signes inflammatoires (œdème, chaleur, rougeur) perdurent, vous pouvez en appliquer à nouveau. On enveloppe la glace (sac de glaçons, sac de petits pois, sac de gel) dans une serviette ou un linge mouillé qu’on applique directement sur la peau pendant 10 minutes.

Quand on ressent des raideurs ou de l’inconfort, la chaleur peut être utilisée. On l’applique pour environ 20 minutes sur la zone douloureuse.

En position debout avec les bras pendants le long du corps, l’appui sur la canne devrait être ajusté à la hauteur des poignets. Il faut tenir la canne du côté opposé à la jambe douloureuse.

En position debout, avec les bras pendants le long du corps, l’appui-main sur les béquilles devrait être ajusté à la hauteur des poignets.

Pour ce qui est de l’espace sous les aisselles, on doit laisser un espace d’environs deux doigts.

Il est important de ne pas s’appuyer sur le dessus des béquilles, car cela pourrait endommager les nerfs sous les bras. Il faut s’appuyer sur les béquilles uniquement en se servant des appuis mains et non des aisselles.

Selon le poids à mettre sur la ou les jambe(s) en mauvais état, certaines façons de se déplacer, monter ou descendre des escaliers sont recommandées. Une consultation auprès d’un professionnel de la santé et non uniquement auprès d’un physiothérapeute peut être pertinente.

Il y a de bonnes et de mauvaises postures. Parfois certaines postures considérées comme bonnes, par exemple se tenir le corps bien droit sur une chaise, peuvent créer de la douleur si la posture est tenue trop longtemps dans la même position. Pour éviter cela, il est recommandé de changer fréquemment de posture et de ne pas garder trop longtemps une même position, aussi confortable soit-elle.

Il est toujours recommandé de faire des assouplissements après avoir fait une activité physique, mais jamais avant. Avant une activité physique, il est plutôt recommandé de faire un échauffement de muscles. Comme, en faisant de petits cercles avec les poignets avant de pelleter.

Il est bon de continuer à faire des assouplissements pendant une activité si on ressent de la douleur en la faisant.

Une blessure, lorsque déclarée à un médecin est parfois suivie de recommandations qu’il faut respecter à la lettre.

Dans le cas d’une blessure entrainant de la douleur très intense, il est préférable de reposer son corps un ou deux jours, peu importe l’activité ayant pu causer la blessure ou la douleur. À la suite d’un arrêt d’activité physique ayant causé un problème, il est recommandé de reprendre progressivement cette activité, et ce, même si l’on ressent encore un peu de douleurs. Dans le cas où la douleur ressentie s’envenime, l’activité doit être réduite avant d’envisager un arrêt complet qu’il n’est pas toujours nécessaire de faire.

(tiré du site Web de l’Ordre professionnels de la physiothérapie du Québec)

Pour éviter les conséquences néfastes que peut causer un sac d’école trop lourd ou mal ajusté, les parents et les intervenants en milieu scolaire devraient être attentifs aux moindres signes d’inconfort. Si l’enfant se plaint de douleurs ou qu’il se penche vers l’avant ou l’arrière lorsqu’il porte son sac, s’il s’aide de ses mains pour porter son sac sur son dos ou si sa démarche semble laborieuse, il est probable que son sac soit trop lourd ou mal ajusté.

Vous devez agir si vous remarquez que le sac à dos de l’enfant est:

• trop lourd
• trop large
• trop long
• mal ajusté
• mal rempli
• porté sur une épaule

Il est important alors d’ajuster le sac à dos de façon adéquate afin d’éviter à la colonne vertébrale de se placer trop vers l’avant, vers l’arrière ou de côté, de fatiguer les muscles du dos, des épaules et du cou ainsi que d’entraîner de la douleur.

En pleine croissance, le corps de l’enfant ne doit pas se voir imposer un stress qui pourrait l’affecter à long terme.

Maux de dos et sac à dos : les bons réflexes

L’observation de règles simples permet de prévenir les maux de dos lorsqu’on utilise un sac à dos. Voici quelques conseils:

• Choisir un sac dont le dos est rembourré, de la largeur du dos de l’enfant, avec des bretelles larges aux épaules et plus étroites sous les bras ainsi que de multiples pochettes pour répartir le poids des objets.
• Placer les objets les plus lourds près du corps, au centre du sac, et les objets pointus vers l’extérieur afin d’éviter les points de pression.
• Ajuster la longueur des bretelles afin d’éviter que le sac descende sur les fesses.
• Vérifier le poids du sac. Une fois chargé, il ne devrait pas peser plus de 10% à 15% du poids de l’enfant.

Si malgré ces recommandations, votre enfant a mal au dos après quelques mois et que vous éprouvez de la difficulté à diminuer le poids du sac à dos, pourquoi ne pas opter pour un sac à dos à roulettes qu’il pourrait utiliser de temps en temps?

Des consignes simples à rappeler de temps à autre à votre enfant

• Attacher la ceinture ventrale du sac afin que le poids repose sur ses hanches et non sur ses épaules.
• Ne jamais porter son sac sur une seule épaule ou en bandoulière.
• Ne pas attacher sa boîte à lunch au sac à dos. Conseillez-lui de la tenir à la main.
• Trier entièrement son sac à dos pour se débarrasser des papiers ou objets inutiles qu’il accumule au fil des jours.